Jusqu’à dimanche soir 8 novembre, à l’hôtel de Voguë, Dijon, « Les Amis de la Peinture Bourguignonne au vingtième siècle » proposent une exposition (comme tous les deux ans) intitulée « Confrontation ». Toutes les oeuvres accrochées là appartiennent à un seul collectionneur. (10h30-18h)
Peintures plutôt « classiques » …
Mais certaines toiles de Georges Laporte, par exemple, ou ces aquarelles inattendues de André Claudot faites lors d’un voyage en Chine sont très intéressantes. Petit coup de coeur pour une toile de Pierre Klemcynski! (photo ci-dessous). J’aime l’ambiance créée ici! 
Peintre bourguignon lui aussi, Raymond Rochette (1906-1993) a son exposition à la Galerie Notre Dame, 3 rue Musette, à Dijon, jusqu’au 15 nov. Fameux pour ses peintures de la métallurgie lourde du Creusot dès 1949. Etonnant.
Bonjour,
je suis en possession d un tableau d André Claudot qu il a réalisé lors de son séjour en chine.
Je voudrais le vendre.Peut etre pourriez vous me diriger vers un collectionneur.
Cordialement
Stéphanie Wohleber
Bonjour je recherche les œuvres de ce peintre et serait-il possible d’entrer en contact avec Madame Wohleber.?Merci par avance.
Bonjour, Pour répondre au commentaire ci-dessus, faites expertiser votre tableau avec un document d’authenticité et faites-le estimer, puis, à chaque annonce de recherche d’acheteur, indiquez ce prix de vente; si c’est le prix indiqué par la ou les expertise(s), ne négociez pas le prix.
Mais mon but ici est autre que donner des conseils.
Vous avez écrit que l’ambiance de ce tableau en icone dans la page html ici était créative. Non, ce n’est pas ceci qui est le créatif, une simple ambiance, car cette ambiance est elle que la lumière était, ce tableau est tel une photographie, cette ambiance est la réalité du paysage au moment où Rochette l’a peint, l’impression d’une lampe de chevet n’est absolument pas une invention de sa part, c’est la réalité concrète et fait partie du figuratif, c’est du réalisme, nullement un arrangement de la réalité.
Mais il y a encore autre chose.
Il y a un peintre dijonnais que j’ai rencontré sur la fin de sa vie, qui a vécu des années de faste et des années d’une grande misère. Il a cherché à faire du naîf toute sa vie, but ultime de tout.e peintre du XX° siècle quasiment,… et des Alzheimer qui voudraient que l’Art soit une thérapie ou une thérapeutique et qui ne comprennent pas que l’Art n’est pas du n’importe quoi. J’ai déjà dit ceci, en disant que l’Art brut n’existe pas, que c’est de l’esbrouffe, l’Art n’étant pas du l’irréfléchi et l’Art est par définition conceptuel, tel que s’il n’y a pas de concept, de fond, il n’y a pas de forme. L’on ne peut pas séparer par définition le fond de la forme, séparer l’esprit du corps, une forme sans fond, ça n’existe pas, tel que s’il y a une forme, c’est que c’est la traduction formelle d’une au moins une idée.
Ce peintre le savait, j’en avais peut-être discuté avec lui.
Il portait une barbe bien taillée sur la fin de sa vie. Il a vendu quelques tableaux pour avoir de quoi manger aussi dans les années quatre-vingt-dix ou quatre-vingt. Il est mort vers 2004, peu de temps après m’avoir rencontré. J’ai tenu entre mes mains ce qui semble être son dernier ouvrage de peintre, un dessin au feutre, le premier dessin d’Art naïf. Croyez-moi, je suis musicien de premier métier, Travailleur Indépendant dans tous les domaines artistiques, l’on ne m’apprend rien en musique et même en peinture, même si je découvre d nouveaux noms, et je lis régulièrement wikipedia pour me cultiver, mais je ne suis dupe de rien ni personne, et quand je dis que c’est le premier tableau d’Art naïf et lui le premier peintre naïf de l’Histoire de la Peinture, c’est parce que des tableaux, j’en ai vus une collection à l’âge que j’ai, quarante-huit ans, et que des vies de peintres, j’en ai analysées un paquet aussi pour connaître la valeur de leur travail.
Ce n’est pas ce dernier tableau de ce peintre que je recherche, c’est le nom de ce peintre. Je ne le vois nulle part dans les quelques sites internet que je suis en train de lire. Il n’est apparemment pas dans les collections du Musée des Beaux-Arts de Dijon où j’habite et où vivait ce peintre, d’après internet. Je ne me souviens plus de son nom, je n’y ai plus pensé par trop d’occupation, de travail, depuis 2004 environ. Et il est apparemment mort peu de temps après avoir été à l’h^pital de la Chartreuse de Dijon pour un sevrage alcoolémique.
Qui peut m’aider à retrouver son nom me permettra de citer le souvenir très précis que j’ai de cette rencontre et de ce tableau dans un écrit que je rédige en ce moment et vais auto-éditer, et Justice ainsi lui sera rendue au nom de l’Histoire de l’Art, car c’est, ce fut un très grand peintre, qui a inventé l’Art naïf après je dirais, quatre-vingts ans de carrière, après avoir cherché à faire ce premier tableau d’Art naïf qu’il m’a montré avant de mourir et qui a clos son travail. Ca m’intéresse qu’il soit reconnu comme premier peintre naïf, car même le lapin de Corneille vendu chez Sotheby’s n’a pas la valeur artistique de ce tableau naïf qu’il a fait et que j’ai eu sous les yeux, entre les mains. Mais je ne sais plus son nom.
Si vous savez à qui je pense ici dont je cherche les nom et prénom, n’hésitez pas à m’envoyer un mail via ma page soundcloud.com/nirmel-mouchiquel . Merci, et je vais continuer, et mon travail, et ma recherche du nom de ce grand peintre écarté de l’Histoire de la Peinture apparemment, que je dis fondateur de la peinture naïve après un travail sur ce thème qui aura duré environ quatre-vingts ans.